Le 2 octobre, les dirigeants militaro-politiques de l'Azerbaïdjan ont poursuivi les attaques criminelles contre les localités pacifiques de la République d'Artsakh. Cette fois, Stepanakert, la capitale de la République d'Artsakh, et la ville de Hadrout ont été attaquées, faisant des blessés parmi la population civile.

N'ayant obtenu aucun succès sur le champ de bataille pendant six jours, les forces armées de l'Azerbaïdjan, renforcées par des combattants terroristes étrangers, ont eu recours à des crimes de masse contre la population civile de l'Artsakh.

Les attaques sont pour la plupart menées sous la coordination des spécialistes militaires turcs et avec les équipements et armements militaires fournis par la Turquie à l'Azerbaïdjan dans le cadre de leur coopération militaro-politique.

Dans le même temps, pour tenter de justifier ces violations flagrantes et grossières du droit international humanitaire et d’autres commises pendant la guerre déclenchée contre l’Artsakh, l’Azerbaïdjan répand de fausses informations selon lesquelles la partie arménienne vise ses territoires civils.

La République d'Arménie condamne fermement ce crime de l'alliance turco-azerbaïdjanaise et réitère sa détermination, à neutraliser par tous les moyens, avec les autorités de l'Artsakh, toute menace existentielle pour le peuple d'Artsakh.